Bienvenue à toutes et à tous sur ce blog personnel.
Le but de ce blog est dans un premier temps de vousinitier à un (r)éveil en douceur, car par les temps qui
courent, il estindispensabled’ouvrir nos yeux et nos esprits.
Il se trame quelque
choseà notre insu, une guerre sociale, certaine mais dissimulée, une guerre contre nos libertés, celle de penser et d’être, celles qui font de nous des
êtres humains, des libres penseurs, des âmes épanouies.
Les sujets que je m’appliquerai à traiter seront divers et diversifiés, mais seront tousliés à la même cause.
J’espère que vous y trouverez réconfort et
apaisement. Bonne navigation !
Michael J. Jackson : plus qu’un artiste, un messager.
Comment ne pas parler de Michael J. Jackson?
Né le 29 août 1958 à Gary dans l’Indiana, cet artiste au talent unique a commencé dès 5 ans à chanter devant un public.
Petit, il était comparé par les artistes qui travaillaient avec lui à une sorte de « petit homme», un chanteur virtuose dans un corps d’enfant; doué au sens propre du terme,
il se fera très vite repérer par Berry Gordy, fondateur du label Motown grâce à l'audition du 23 juillet 1968.
Michael jackson et ses frères avaient été découverts par Gladys Knight (et non pas Diana Ross comme cela a été dit). C'est elle qui a contacté Berry Gordy et lui a expliqué qu'il fallait que ces
enfants soient reconnus.
Michael Jackson a eu une carrière exemplaire mais semée d’embûches.
En évoluant artistiquement et humainement, il va petit à petit faire passer des messages forts ou il évolue comme un humaniste sensible à la cause animale et celle des enfants, de
la planète mais aussi de l’injustice dont il a été victime.
Man in the mirror
Écrite et composée par Siedah Garrett, cette chanson épouse Michael Jackson comme un gant.
Le message est clair : si tu veux changer le monde, regarde-toi d’abord dans le miroir.
Au travers de cette chanson, on est plongé dans la tête de quelqu’un qui remet en question son mode de vie et sa manière de voir le monde qui l’entoure :
“Who am I, to be blind pretending not to see their needs?”
Véritable emblème de l’humaniste qu’il était, ce sera la seconde fois, après We are the worldqu’il traitera un sujet aussi sensible, qui concerne l'humanité entière.
Tabloid junkie
Enregistrée en 1995 sur l’album HIStory, on y découvre ici un Michael révolté, écœuré, presque enragé, et dans la revendication :
Il pointe du doigt les médias qui utilisent à outrance une propagande meurtrière, qui “torture” les hommes de leur stylo.
Cette chanson fait suite aux nombreuses spéculations et rumeurs qui courent à son sujet qui petit à petit vont retourner l’opinion publique contre lui.
C’est l’une des rares chansons où il s’autorise un langage vulgaire et injurieux, ce qui n’est pas dans son habitude.
“Just because you read it in the magazine and see it on the TV screen don’t make it factual”
Comprendre ici que le fait de voir dans les médias des choses n’en font aucunement une vérité.
Une chanson qui ne peut plus passer inaperçue en 2020, où la mass media relaye tant d’informations totalement biaisées, à la limite du ridicule, où n’elle n’est plus une source
fiable.
.
They don’t care about us
Tirée du même album, cette chanson est un véritable hymne à la révolte du peuple contre les gouvernements.
Il établit ici un bilan franc en énumérant les éléments de notre société qui n’ont pas de sens: une société qui dérive et dont l’essence même n’est plus : protéger le peuple.
Plus important encore, il dresse ici le portrait des forces de l’ordre qui exercent une totale injustice sur les noirs, de la ségrégation à la violence jusqu’au meurtre
injustifié.
Cette chanson a d’ailleurs été jouée lors de nombreuses manifestations Black Lives Matter.
Une chanson qui résonne d’autant plus avec la montée des forces de l’ordre dans un rôle de gardiens de l’injustice et du gouvernement.
Elle peut également s’appliquer à la loi sécurité globale qui pourrait, si poussée à l’extrême, permettre à la police d’avoir droit de vie et/ou de mort sur les citoyens, en leur
octroyant le droit de porter leurs armes en dehors de leurs heures de travail, le droit de filmer tout individu ou altercation et d’en modifier le contenu, et l’obligation des citoyens de cacher les
visages de ceux-ci.
Ceci n’est pas sans rappeler l’autorité démesurée de la Gestapo durant la Seconde Guerre Mondiale...
Sa mort en 2009 a marqué les esprits, tant par ses circonstances étranges que par sa soudaineté, quelques semaines avant le début d’une serie de concerts à l’O2 Arena à Londres au cours
desquels il s’apprêtait à révéler des informations importantes.
Il est évident que tout a été fait pour le détruire.
La méthode a été simple mais longue :
Des accusations atroces, une tentative d’incarcération par le biais du procureur Tom Sneddon (dont il parle
dans D.S. sur HIStory) avecune investigation du FBI de près de 10 ans, sans résultat incriminant,
deux procès pour lesquels il est jugé noncoupable, et en dernier recours son homicide par le biais du
médecin ConradMurray, emprisonné durant 2 ans, soit la moitié de la peine initiale.
Comme il l’avait si bien dit:
“Lies run sprints, but the truth runs marathons”
Voici le dernier appel vocal de Michael Jackson avec son ami Dieter Wiesner :
Détruit par les médias, les accusateurs avides d’argent et de « buzz » et par l’industrie musicale pour laquelle il aura générer des milliards de
dollars, Michael Jackson aura combattu jusqu’à son dernier souffle un monde qu’il n’a pas mérité.
Traduction :
« - Je ne sais pas si je devrais te dire tout ça... Mais je ne sais pas qui pourrait nous écouter. Ça pourrait être un
groupe de personnes... Ils veulent se débarrasser de moi... Ils ne veulent plus de moi ici.
- Je comprends pas.. De quoi tu parles? Raconte-moi.
- Je peux pas en parler au téléphone... Je sais pas ce qu’il va se passer mais je le sens... dans mon âme. Seul Dieu sait. Ils pourraient me tirer dessus. Ils pourraient
me poignarder, ils pourraient mepiégeret dire que j’ai pris de ladrogueet fait uneoverdose; ils peuvent faire beaucoup de choses.
- Mais qui? Qui pourrait faire ça?
- Ce n’est pas le gouvernement. C’estau-dessus du gouvernement. Mais je n’en ai aucune idée Dieter... Et je m’en fous... Qu’ils me
prennent..Je n’en ai plus rien à faire de ma vie... Je veux juste que mes enfants aillent bien... Mes petits anges... Je veux qu’ils soient en sécurité.
- Michael
[ Bruit étrange ]
- Il faut que j’y aille... »
On comprend tout à fait l’ampleur de l’anxiété dans laquelle il se trouve ici.
Michael Jackson a souvent dit qu’il avait des dons de clairvoyance.
Il avait d’ailleurs dit une fois au Dr Murray que leurs noms allaient être liés à jamais.
Et comme si cet appel n'était pas suffisant, jetez un coup d'oeil aux lettres qu'il avait écrit et qu'il avait remis en mains propres à son ami :
Malheureusement, son pressentiment s’avérera être vrai puisqu’il décédera le lendemain d’un arrêt cardiaque suite à l’administration excessive de propofol, un puissant anesthésique
uniquement utilisé pour des opérations lourdes.
Son « lait », comme il l’appelait, était sa seule façon de s’endormir, bien qu’il ne permette en rien un sommeil réparateur. Michael était insomniaque. Aussi le manque de
sommeil,l’intensité des répétitions ainsi que la pression reposant sur ses épaules suite à l’obligation d’effectuer 50 concerts au lieu des 10 prévus initialement vont terminer
de l’épuiser jusqu’à la mort. Son procès de 2002 l’ayant déjà fortement fragilisé.
Il représente donc l’exemple parfait d’un artiste poussé dans ses retranchements, qui aura combattu une certaine branche de personnes haut-placées dont TommyMottola,
patron de Sony Music, et bien d’autres personnes de l’ombre qui auront tout fait pour le faire taire.
Voici ce qu’il se passe dans le monde de l’entertainment. Tous ceux qui se mettront en travers de leur chemin finiront par être tus ou par disparaître.
Il en a été de même pour bien d’autres célébrités et personnalités publiques dont Martin Luther King, John Fitzgerald Kennedy et Marylin Monroe, Coluche, Daniel Balavoine, Dmx ou encore Tupac
& Notorious B.I.G.